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Photo du rédacteurPhilippePin

J-25 : UNE NUIT, UN REVE...

Décembre 2016. Voilà un an que mon circuit est établit, quand, une nuit, un rêve m’offre une piste étonnante. Dans mon rêve, un handicapé paralysé des jambes, lui qui ne peut donc marcher, souhaite me suivre en camping car avec conduite à la main. Bigre ! Au petit matin, je suis tout en sueur. Cette idée surprenante mais surement pas simple à réaliser, va orienter ma recherche d’hébergement.

Le camping car a trois avantages : Le coût. Acheter un camping car que je revendrais un an plus tard avec une perte de 2000 euros environ, alors que 365 hébergements me coûteraient 14000 euros. Et puis, un bon lit, un confort, ce n’est pas négligeable à 60 ans. Une cuisine, pouvoir se faire à manger va aussi contribuer à baisser le budget. Ensuite il portera du matériel allégeant considérablement mon sac. Enfin, il s’adaptera à la randonnée. Si une tempête est annoncée l’après midi, j’arrêterais à midi ou le camping car me rejoindra, alors qu’un gîte réservé le soir imposerait de marcher sous la tempête.

La difficulté est de trouver les chauffeurs avec ce souci qu’ils aient leur propre loisir. Vélo, photo, peinture, écriture, ect… Un chauffeur sur tout le parcours ? Oui, ce serait l’idéale. Mais à mon avis, je penche plus vers un nombre de chauffeurs pour une période donnée.


Info supplémentaire : Vous êtes friand de lire ce genre d’aventure, sachez qu’en ce moment même j’ai une nièce, Anaëlle et son compagnon Aurélien, ils sont partis tous les deux à vélo pour traverser l’Amérique Latine du Nord au Sud. De Carthagène en Colombie jusqu’à Ushuaïa. Parti fin mai pour 10 mois, Anaëlle écrit un blog pour nous faire vivre cette aventure. Allez voir le blog. « albici 2018 »

A demain !


Et voilà comment l'histoire d'un rêve va orienter mon aventure...


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