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J-15 : LES PREMIERS PAS DU CAMPING CAR

Ce week end de Pâques, avec Christine, nous partons trois jours vers Dijon. But : Se familiariser avec le véhicule et tous ce qu’il comporte de pièces, boutons, vannes. Nous sommes avec des amis Camping Cariste, Richard et Cathie. C’est un bon soutien pour commencer.

La campagne est très accessible, en revanche la ville un peu moins. On voulait visiter Dijon, pour garer un camping car de 7m en ville, bonjour ! On renoncera par manque d’expérience et manque de patience sans doute aussi.

On avait un peu d’inquiétude quant à son utilisation, mais ce fut finalement très simple. La batterie intermédiaire se recharge en roulant et par le panneau solaire. Elle semble prête à nous soutenir sans assistance extérieure. Le réservoir d’eau propre (150l) n’utilisera que 100l sur les 3 jours pour la douche, WC et vaisselle. Enfin notre bidon de 15l d’eau potable pour boire et cuisiner reviendra avec 7l. Cool ! La manipulation du chauffe eau, chauffage, frigo, douche, ne pose aucun problème, ce fut 3 jours sereins très agréable à vivre.

Voilà ! Voilà !... Comment ?... Quoi ?... Hein ?... S’il y a eu un petit grain de sable ?... Grrrrrr!... Bon ! Allez ! Je vous le raconte ce petit grain de sable, mais vous gardez ça pour vous, OK ?. Je n’en suis pas trop fier !

Mon camping car est garé contre la maison, les roues de droite sur le dur, les roues de gauche dans l’herbe. Il y a beaucoup plu cette nuit, le terrain est gorgé d’eau. C’est qu’il fait 3 tonnes 500 l’animal, et voilà que je m’enfonce, patine, insiste et plus j’insiste, plus je m’enfonce. On est planté !!!! Jusque là, rien de grave, je suis à la maison, on met une planche sous la roue et nous voilà tiré d’affaire. La roue est chargée de terre et de cailloux, pas de souci, le tuyau d’arrosage lui redonne son éclat initial. Après cette petite péripétie on prend la route, mais, lorsqu’on atteint les 70 kms/h, un claquement régulier se fait entendre. Clac.clac.clac.clac…. Un caillou sans doute s’est faufilé dans la jante ? Peut-être ! Dans le doute, on s’arrête chez un mécano. Il faudra attendre 1h avant que mon camping car s’élève dans les airs du pont de levage, ce qui lui donne une majesté perché au dessus de nos têtes. « Un beau bébé ! » dira le mécano. On pense qu’il s’agit d’un fil dénudé qui claque contre la paroi de la roue. On refait un essaie mais toujours le clac.clac.clac.clac ! C’est seulement au bout de deux heures qu’on trouvera la raison de ce bruit lancinant. Une branche, sans doute, a rapproché l’antenne de la radio vers la paroi du camping car et claque lorsqu’on prend de la vitesse. Deux heures et 30 euros pour ça ! Les boules ? Non ! Vous croyez ????

A demain


Le garage du camping car :

Après avoir empierré le sol, cette fois-ci les 4 roues sont sur le sol dur

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